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Sympathiquement renvoyé de la finance mondiale à faible responsabilité alors que la démission se profilait, très débrouillard mais pas très manuel, capable de gravir une montagne mais pas sportif, titulaire du permis de conduire sans savoir, vivez mes aventures baroques autour du monde!

All along la Baie d'Halong

A force de boire autant que de déboires,
d'être démarchés autant que de marcher,
nous n'avons qu'une envie : se sortir la tête d'Hanoï.

Comme la vie est bien faite, c'est exactement ce qui est programmé en ce 7 avril. En plus, ce n'est pas un planning de molasson qui nous guête, c'est même plutôt le contraire. Il est déjà entendu que la Baie d'Halong sera un des temps forts de mon périple.
Un des temps forts et sans temps temps faibles étant donné que telles que les choses sont prévues et organisées, nous serons déjà de retour à Hanoï dans trois jours après une exploration intense et passionnée, en tout cas, on l'espère.

Ce matin du 7 avril, tout commence avec un bon décallage horaire, grand écart complet avec le rythme des jours précédents puisqu'il faut qu'on soit levé de bonne heure et de bonne humeur. C'est pas évident d'autant qu'à l'extérieur la grisaille recouvre la ville.
On est pris en charge à notre hotel aux alentours de 7h par un minibus remplis de visages occidentaux qui montre bien qu'on a rejoint la route touristique principale. Qui plus est, comme on est en circuit organisé du genre "tout compris", je redoute un peu la chose eu égard à la dernière fois que je m'étais essayé à la chose à Abou Simbel en Egypte, expérience qui avait tournée à la désillusion malgré la majesté du sîte.
Mais pour l'instant, l'heure est à la sieste et comme tous les passagers roupillent encore plus vite que moi, il n'est pas question pour une fois de culpabiliser.

Je rouvres les yeux à l'arrivée à Halong City. Le temps ne s'est pas amélioré ce qui n'arange en rien ma perception des lieux. La ville est d'une laideur certaine. De grands blocs de bétons rectangulaire faisant office d'hotels noient le front de mer, ça sent l'usine... Lorsqu'on tourne le dos à cette apocalyse architecturale, on a la mer en face, enfin quand on peut la voir... En effet, autour de 800 bateaux s'occupent de transporter les touristes vers la baie et ça fait une sacrée armada, y'en a partout, à vous donner le vertige.
Sur ce, nous cinq (Nat, Jo, Marius, Dani and me) ainsi que nos autres compagnons de route ensommeillée, on est convoyé jusqu'à notre bateau. Il est grand, confortable et même s'il marche exclusivement au moteur, il est quand même charmant puisque fabriqué tout en bois.
On en profite également pour prendre possession de nos cabines dans lesquelles on dormira la nuit suivante. Elles ne manquent de rien même pas d'allure.

A midi, on largue les amarres, en route vers le paradis calcaire!
En vue à quelques kilomètres, on peut déjà apercevoir les îles qui font la réputation et la beauté de la Baie d'Halong. Elles surgissent magnifiquement de l'eau comme des doigts d'honneur à la ville repoussante d'en face. C'est un enchainement de parois verticales à vous donner le vertige, un enchantement pour les yeux.
On se rapproche ainsi pendant près d'une heure avant de pouvoir vraiment naviguer au milieu de ce labyrinthe.
Dans le bateau, tous les touristes s'agglutinent sans raison apparente au niveau intermédaire dans ce qui fait office de restaurant pendant que notre joyeuse troupe s'extasie du spectacle sur le pont supérieur généreusement doté question chaise longue. C'est à n'y rien comprendre mais maintenant je commence à avoir l'habitude de ce genre de comportement et apprends malgré moi à ne plus m'en étonner. Nous, de toute façon, avec le ciel comme couverture, on est à mille lieux de s'en soucier!

Après deux heures de cette douce navigation, on s'arrête une première fois pour visiter une grotte appelée grossièrement Amazing Cave qu'on pourrait traduire par Super Grotte! L'entrée de la grotte est le long d'une paroi qu'il faut grimper par un escalier tout ce qu'il y a de plus accessible. Tout ici, est fait pour simplifier la vie du touriste. Il est semble en fait que tous les bateaux de la baie font une pause ici donc le flot est incessant et des plus jeunes aux moins jeunes, tout le monde peut profiter du "super" spectacle.
Dans les faits, la grotte en elle-même est une vraie merveille. Les salles sont gigantesques, éclairées avec gout. Les stalactites et mites sont des splendeurs. C'est tellement grand et spectaculaire que même un claustrophobe apprécierait le spectacle.
Quant à l'agoraphobe, c'est une toute autre question...
La première salle dans laquelle on pénètre fait plus ou moins office de sas d'entrée de part sa taille. Et bien cette salle est plus densément peuplée qu'un grand magasin à la veille de Noël! Ca se bouscule, ça s'engueule presque. Un vrai bonheur!!!
Ensuite, il faut passer par une petite ouverture en forme de goulet d'étranglement où il faut attendre son tour et faire la queue pendant bien dix minutes.
Ce n'est qu'après ça qu'on peut réellement apprécier. c'est grandiose même s'il faut suivre un chemin balisé et littéralement marcher dans les pas de celui qui vous précède; on en oublierait presque la foule jusqu'aux commentaires désobligeants des touristes français qui pensent que vous ne comprenez pas un broc de ce qu'ils racontent.

La visite dure ainsi une heure, après quoi on remonte dans le bateau pour une nouvelle ballade le nez au vent, rejoints au passage par les autres passagers qui finissent par comprendre l'évidence : on est bien mieux sous le ciel que sous un toit surtout ici!!!

On passe alors deux nouvelles heures de délectation occulaire avant un nouvel arrêt qui cette fois-ci ne fera pas que nous dégourdir les jambes puisqu'on se voit proposer un quartier libre sur kayaks. Chacun s'équipe donc d'une pagaie, d'un gilet de sauvetage obligatoire et se pose les fesses dans une embarcation. On peut alors déambuler à la force des épaules entre les îles et comme on ne fait rien comme tout le monde, on peut aussi se faire des batailles navales pour rigoler de plus belle en se maculant les uns les autres d'une eau à 21-22°. On s'éclate donc comme des fous rejoints dans l'affaire par Maria, une américaine qui, dans la bataille, a oublié qu'elle avait son appareil photo qui supportait mal l'eau de mer. Oups... Si je puis me permettre, comme quoi pas besoin d'avoir des c...lles pour qu'il vous en arrive!
C'est donc dans les splashs qu'on finit la journée. Le retour au bateau, d'une grande générosité, s'accompagne d'un coucher de soleil.
On est de retour sur le pont quand la lumière commence à décroître. Le capitaine ancre le bateau pour la nuit et comme avec Jo, on est pas exactement rassasié, on en profite pour faire les cons en sautant du bateau depuis le pont supérieur. Théoriquement, on devait sauter de façon synchroniser, mais sans prévenir, Jo se jète en effectuant au passage des sauts périlleux dans tous les sens agrémentés de vrilles inexplicables. Le fou furieux!! Moi, trop pleutre, je me contente de sauter mais comme ça fait déjà plusieurs étages de haut, je suis déjà bien satisfait. Même pas mal!!
On refait l'opération jusqu'à ce qu'on y voit plus rien, la nuit est tombée et la température de l'eau nous fait claquer des dents.
Et comme tout est merveilleusement organisé, le temps de prendre une douche à l'eau claire, le dîner est servi.

Ca se passe sans vagues. Maria dîne à notre table, l'ambiance est excentissime malgré l'appareil photo.

On finit de manger à 20h, qu'est ce qu'on va bien pouvoir faire maintenant? On est sur un bateau au milieu de rien d'autre que des falaises, rien à priori. Et bien détrompez-vous!!! L'équipage du bateau a caché sa botte secrète, une installation karaoké du dernier cri. Des enceintes du tonnerre, deux micros, un catalogue de chansons infini. au départ, on est un peu perplexe... Mais alors que je vais chercher la bouteille de whisky que j'avais pris soin d'acheter à Hanoï avant de partir et qu'on la débouche, l'inhibition lève le camp et plus ça va, lorsque chacun prend tout à tour le micro, il ne veut plus le lacher!!!
Au court de la soirée qui s'est fini sur l'injonction du capitaine d'en finir autour de minuit, je me souviens entre autre m'être laché sur "Bohemian Rhapsody" de Queen et plus étonnament sur "Like a Virgin" de Madonna!! Moment culte!!!!

Il est donc minuit, tout le monde est pompète autant qu'il est fatigué. Ce serait donc le moment idéal pour roupiller un coup. Vous avez remarqué l'emploi du conditionnel? Dans les faits, Marius et les filles partent se coucher. Avec dani et Jo, on reprend possession du pont supérieur et de ses chaises longues pour une discussion hilarante sans fin sous la voute nuageuse. il faut dire qu'on est encore motivé par une chose. Dans la nuit aura lieu le quart de final de ligue des champions opposant le Barca au Bayern et Dani, en bon allemand, ne veut rater ça pour rien au monde! Il a d'ailleurs été conclu qu'on pourra se réinstaller devant le grand écran servant de support au karaoké pour voir le match.
En attendant donc, on papote autant qu'on rigole jusqu'à s'endormir vers 2h30. On est tiré du sommeil à 2h45 par la pluie qui commence à tomber doucement sur nous. Ca tombe drolement bien, le match est à 2h45!! On réveille donc le petit gars qui dort là et qui voulait de toute façon aussi d'adonner à sa passion footballistique. Réveil de courte durée au final accompagné d'un brin de déception car il n'y a plus un volt de courant sur le bateau, c'était bien la peine!
Enfin au moins, on peut alors aller dormir...


Mais pour ne pas changer les bonnes habitudes, le lever du 8 avril est poussif et douloureux. Il me faut des trésor de courage pour rejoindre le petit déjeuner, aidé quand même en cela par le fait qu'on est pas n'importe où puisqu'au milieu de la Baie d'Halong!!
Le bateau se met déjà en route alors qu'on finit à peine nos tartines. La direction : Cat Ba island. C'est la plus grande île de la baie et elle offre nombre d'hébergement dont un qui nous est déjà alloué pour la nuit suivante. Mais on en est pas encore là, la journée débute à peine. On atteint Cat Ba en milieu de matinée, accueuilli par un nouveau minibus rutilant. Celui-ci nous conduit alors vers le point de départ d'une marche de plus d'une heure avec à son terme, l'arrivée en haut d'une haute colline et la découverte d'un panorama à la hauteur de la grimpette.
Au début du sentier, la chaleur moite est déjà présente et je sue à grosses gouttes. A partir de là, on grimpe, on grimpe, on grimpe et ce, toujours au milieu d'une foule nombreuse qui suit décidément le même itinéraire que nous. L'ascension pour certains est laborieuse, pour nous, elle est tranquille. A son sommet, on tombe aux pieds d'une grande tour toute rouillée dont il faut gravir l'escalier pour profiter de la vue. Parfois, il manque une marche. Parfois, il manque deux marches. A la place, le vide. Il faut donc bien faire gaffe à ouvrir les yeux pour regarder où on met les pieds car au final, on fini à plus de 40m de haut.
Et enfin, c'est la récompense!! A 360°, la vue est revigorante. Plus question de se plaindre du sommeil, on est reboosté pour la journée!
On reste ainsi en haut à profiter jusqu'à se sentir submergé par les groupes qui ne cessent de s'accumuler là. il est temps de laisser la place avant que la tour ne s'effondre sous le poids des visiteurs comme ça va bien finir par arriver vu l'état de celle-ci!!

C'est donc le temps de la descente qui s'en suit. A son terme, le minibus nous attend déjà pour nous déposer à notre hotel pas beau mais depuis lequel on a une très belle vue puisqu'on est au 5ème étage face à la mer. Mais pas le temps d'en profiter encore ni de faire la sieste, le programme est assez chargé pour qu'on ait même pas le temps d'y penser. On est convié pour déjeuner avant de prendre un nouveau bateau pour une escale de quelques heures à Monkey Island.
Monkey Island, c'est l'archétype même de l'île de la Baie d'Halong sauf qu'en plus elle est frangée de deux plages et qu'elle est habité par une colonie de singes.
On est déposé directement sur la plage et le jeu consiste à se frayer un chemin au milieu des roches assérées pour accéder à la plage située de l'autre côté. Quand on y arrive, on y découvre un petit ensemble de bungalows tous mignons avec son bar sur la plage et sa table de billard.
Là, Nathalie s'installe langoureusement dans un hamac et nous, les gars, on se lance dans des parties endiablées entrecoupées de glaces et de boissons sucrées. Quand vient mon tour d'acheter une boisson, je vais m'adresser au barman ce qui me permet de vous exposer les difficultés qu'on a parfois pour se faire comprendre au Vietnam.
Je commande:
- Can I have a Sprite please?
- Soup? you want soup?
- No, Sprite, I want Sprite.
- Soup? What soup?
- No, Sprite. S-P-R-I-T-E, sprite.
- OK, soup...
Il faudra que je fasse le tour du bar, que je mette le nez et le reste dans le frigo pour finalement me servir moi-même. Suréaliste...
Sur ce, je paye et retourne à notre partie quand le guide nous fait signe qu'il est temps de partir. Qu'à cela ne tienne, je le boirais au retour sur le bateau... On repart donc faire l'ascension dans l'autre sens, on retrouve la plage, j'ouvre ma canette et alors que je m'apprête à me délecter de ma première gorgée, les singes font leur entrée.
Il y en a trois ou quatre, pas très peureux au point de se rapprocher à un mètre.
Je m'accroupis alors pour faire une photo, mets la canette entre mes pieds et là sacrebleu!! En un éclair, le singe le plus proche se jète dessus et dérobe le précieux breuvage!!! Pas une goutte dans mon gosier et le singe fuit avec son butin pour s'installer un peu plus loin sur la plage. Là-dessus, le singe essaye de boire mais n'est pas fichu de savoir comment faire pour boire à la canette, résultat il en fout partout sauf d'en sa bouche. S'en est trop, il faut que je récupère mon bien!!
Je m'approche donc mais à chaque fois que je fais un pas, le singe en fait de même dans la même direction jusqu'à finir dans les arbres. Au final, je me sens bien con et bien stupide car en plus de ne pas avoir bu, ma canette va finir en déchet errant sur cette île magnifique sans que le singe ne comprenne à aucun moment comment se substenter. Mais pas question de grimper après le singe, en escalade j'ai l'agilité d'une huitre.
Je suis donc retourné au bateau la queue entre les jambes, la canette aux oubliettes de l'histoire...

On a donc fini par rejoindre l'hotel, c'est la fin du planning famial avec figure imposée. On pourrait alors prendre la direction d'une plage pas trop loin mais comme le ciel est toujours chapé de plomb et qu'on est bien rincé, on convient d'un repos salvateur au moins jusqu'au soir.
J'en profite d'abord pour dormir une chouille puis pour ne pas perdre les bonnes habitudes, pour te pondre un article bien senti interrompu seulement dans mon élan par un dîner vite ingéré.

Le soir venu, Nat est explosé et dort.
Marius et Dani font une sieste tellement profonde qu'un marteau-piqueur ne pourrait les en sortir.
Jo et moi, on se demande.

Je prends alors l'initiative de réveiller les germains. Je n'obtiens alors que des "hmmm" vaseux en retour. J'essaye quand même de les motiver pour aller boire un ptit verre et taper dans le mini ballon de foot que Marius trimballe partout.
Mais c'est peine perdue, tant pis. en refermant la porte de leur piaule, j'en profite quand même pour leur subtiliser la balle. On descend alors avec Jo le long de la trop large corniche pour l'endroit qui sépare l'hotel de la mer et on se lance dans un jeu de passe. Puis, alléchés par le bruit qui leur parvient jusqu'à la chambre, on est rejoint par Dani puis Marius, c'est la fête!!
On joue ainsi pendant une petite heure en prenant à partie tous les philippins qui passent par là en leur passant la balle, c'est très bon enfant. Ensuite comme on est encore sobre, il est temps d'aller dans un petit bar agrémenté d'un billard pour se mesurer entre nous et aussi affronter tout en sourires les locaux. Après moultes cocktails servis dans des ananas frais, après avoir botter les fesses de tout ce que la ville compte de joueurs de billards locaux et de mes compagnons, on rentre une dernière fois se coucher vers 2h, certains diront qu'il était temps.


Ce qui nous amène logiquement au 9 avril. Le temps est toujours mi-nuage mi-nuage, la mise en route toujours en fanfanre, ou presque.
Ce matin, on a le temps de rien, tout le monde a oublié de mettre le réveil et c'est le guide qui nous réveille pour nous dire qu'on est déjà à la bourre. C'est donc sans douche et quasiment sans petit déjeuner qu'on monte dans le minibus qui nous ramène à un bateau comme celui du départ pour in fine remettre les bouts sur Halong City.
C'est le retour au pont supérieur, l'ambiance est ce matin plus calme mais si c'est tout relatif étant donné qu'on s'essaye à l'escalade du mat du bateau. On arrive à la ville grise pile pour se mettre les pieds sous la table dans un restaurant aux centaines de tables.
Au bar, tronent d'énormes jarres d'alcool remplies de centaines de serpents, scorpions et autres animaux doux et affectueux mais on y fait même plus attention tellement on en a déjà vu dans un passé récent. On est à la rigueur plus interpelé par la taille du resto que par le bestiaire baignant dans la tisane!!
 
Et puis c'est l'heure du retour à Hanoï où on arrive après quatre nouvelles heures de sieste motorisée. On récupère notre ancienne chambre dand laquelle on se sent tellement bien qu'on en oublie de manger. On est tous cassé par le rythme des dernières 72 heures et bien que ce soit la dernière soirée de Marius avec nous, on ne fait rien d'autre que de feignanter jusqu'à ce que le sommeil nous emporte tous les uns après les autres. Avec Jo, on est les derniers debout. On en profite pour utiliser à profit les cadavres de bouteilles de bière bues ce soir pour s'en resservir une et faire une petite partie de caps.
A 1h quand même, on s'endort la tête pleines d'images de la Baie d'Halong.
Y'a pire.
Un an auparavant, c'était Mme Lomière...


Quant à toi, si tu veux partager mes rêves de cette nuit, je t'engage de bon coeur à voir les photos.
Mi casa es toujours su casa  

 

 


 


 


 

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P
<br /> Bien que le paysage de la baie d'Halong est merveilleux, je comprends un peu ton aversion pour ce genre d'excursion, mais il faut faire avec et il semble que vous avez bien su en profiter et y<br /> mettre du vôtre. Quelle belle région!<br /> <br /> <br />
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S
<br /> Quelle belle région en effet!!<br /> Dommage que France3 Bourgogne n'en parle pas plus souvent...<br /> Ou Jean-Pierre "spécialiste es région" Pernaud pareil...<br /> <br /> <br />
S
DCB : Daniel Cohn-Bendit<br /> YAB : Yann Arthus-Bertrand<br /> <br /> Au cas où tu n’aurais pas suivi les élections du parlement européen le 7 juin, la liste « Europe Ecologie » de DCB a fait presque 15% des voix. Et puis, tu ne devais pas être devant ta télévision le 5 juin au soir, jour de diffusion du film-documentaire (toutes vues prises d’hélicoptère) de YAB, intitulé « HOME » et diffusé en mondovision, film aux très belles images qui parle des dégâts peut-être irréversibles causés par l’homme depuis le début de l’ère industrielle. Il y en a même qui prétendent que cette diffusion l’avant-veille du scrutin en a faussé le résultat au bénéfice de DCB….
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S
<br /> Ceux qui prétendent que la diffusion du film a modifié le résultat du scrutin ne sont peu être pas loins de la vérité.<br /> J'ai tendance à penser en voyant des merveilles chaque jour que c'est très facile (je l'avais déjà avant of course) d'avoir une conscience écologique. Le tout est que ça reste ancré profond dans la<br /> tête de chacun pour qu'on ait pas besoin d'un film pour voter écolo.<br /> Bien joué YAB<br /> Bien joué DCB<br /> Mon coeur vous accompagne.<br /> (Et bien joué mon con FB qui ne rate décidément jamais une occasion de se refermer tout seul le couvercle sur la tête)<br /> <br /> <br />
M
Enfoiré!!!!!!!!
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S
<br /> Usurpatrice!!!!!!!!!!!<br /> <br /> <br />
M
Bonjour Brice,<br /> j'espère que vous vous souvenez de moi, malgré la vie trépidante qui est la vôtre. Vous avez raison de profiter de celle-ci et de ne penser qu'aux plaisirs qu'elle offre à ceux qui, comme vous, ont eu le courage et l'envie de la mordre à pleines dents.<br /> Quand je me suis décidée à vous adresser mon petit (plutôt long en fait) commentaire, vous veniez de vous meurtrir la main, le coude et la fesse et je me permettais de vous faire remarquer la baisse du rythme de vos écrits, car je suis une passionnée de vos aventures.<br /> Je ne sais si ma modeste intervention vous a donné du baume au coeur mais je dois maintenant vous féliciter pour votre nouvelle cadence.<br /> Quelles aventures incroyables décrites avec cet humour qui me plait tant, quelles magnifiques photos vous faîtes! Vous feriez un excellent reporter.<br /> Je vous embrasse tendrement.<br /> Je vais vous faire une petite confidence : hier soir, je me suis endormie dans la baie d'Halong, c'est vous dire.<br /> A bientôt Brice.
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S
<br /> Ahhhh Mamie Jeanette!!!!<br /> J't'attendais plus vieille branche, je pensais que tu étais trop occupée à prendre le thé avec Ronan Pensec!!<br /> Démasqué fantomas!!!!!!<br /> Ah Ah Ah!!<br /> <br /> <br />
D
en voulant prendre des news après toutes ces années, je suis tombé sur ton blog. ça pour une surprise... je reviendrai sur ce site si tu m'y autorises... quoi qu'il en soit, bon vent à toi
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S
<br /> La surprise est toute réciproque!!! Le Dude!! El dudo!! Los dudos!!<br /> Ah ben non alors!!<br /> Bienvenue à ma paroisse grand.<br /> C'est ouvert à toute heure et pour un peu, c'est remboursé par la sécu!!<br /> La biz<br /> <br /> <br />