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Sympathiquement renvoyé de la finance mondiale à faible responsabilité alors que la démission se profilait, très débrouillard mais pas très manuel, capable de gravir une montagne mais pas sportif, titulaire du permis de conduire sans savoir, vivez mes aventures baroques autour du monde!

Cap à l'Est en Cappadocce

A Fethiye, j'ai frétillé.
Mais les meilleures choses ont une fin, je me Kas.

Fethiye et Kas ne sont distants que de 100 kilomètres, rien ne presse, tout invite à la paresse.
Le réveil se passe en douceur, les bus qui effectuent le trajet sont fréquents et ponctuels. Il fait beau et le jasmin embaume les alentours.
Le petit dèj' se passe sur la terrasse qui domine la mer, difficile de rêver mieux pour débuter la semaine.
On est lundi et si on me pose la question "comment ça va?"; difficile de répondre "comme un lundi". De toute façon, j'ai déjà plus ou moins perdu le cours du temps et c'est de plus en plus difficile de déterminer exactement quel jour nous sommes.
Le seul truc que je sais, c'est que la terre continue de tourner, et moi avec elle.

Kas, ma destination du jour, est un petit village de quelques milliers d'habitants dont le LP raconte que c'est la perle turque de la côte méditerranéenne, nichée au bas de montagne majestueuse et au rythme de vie à allure modérée. Comme moi en ce moment, ça devrait coller.
Je quitte Jeff qui va retrouver la mère patrie peu de temps après et me mets en route.
La gare routière est aussi anonyme que les autres, le bus plus proche du mini que du maxi. En tout, une quinzaine de places dont la moitié seulement seront occupés.
Ca nous laisse toute la place, à moi et à mes gambettes pour nous mettre à l'aise.
Je prends juste la peine de m'assoir sur le côté droit du véhicule car le parcours que nous allons suivre longe la mer sur près de toute la longueur, je suis aux premières loges. La musique dans les oreilles, je n'ai d'yeux que pour les paysages idylliques qui se succèdent.
La route longe les montagnes qui descendent presque à pic jusqu'à la mer que nous ne surplombons de quelques mètres. Il n'y a pas de place pour l'erreur de conduite mais l'erreur serait de prendre un autre chemin.
De temps à autre, la mer s'enfonce un peu plus dans la falaise qui l'encercle telle une anse et révèle ça et là de petites plages de sable isolée de tout puisque non accessibles.
La couleur de la mer passe du bleu au vert, tout ça sous un temps radieux.
Le sourire de béatitude répond toujours présent, c'est bon signe.

J'arrive à Kas au tout début de l'après-midi, déniche un hotel avec d'autant plus de facilités que les touristes se font rares malgré les conditions climatiques.
L'hotel est simple comme la chambre, et le patron m'accueuille littéralement à bras ouverts.
Je profite de la journée pour me dégourdir les jambes et faisant un rapide tour des environs, vite calmé par la chaleur estivale. Il fait 30°, ce qui est doux pour les locaux qui viennent de voir finir l'été caniculaire où le thermomètre atteint facilement les 40° à l'ombre.
Moi, ça m'écrase un peu d'autant que le bled est très valonné.
A titre d'exemple, je décide de trouver un point de vue sur les hauteurs qui comblera l'appareil photo. j'emprunte une route abrupte (du genre tu avances de 2 mètres, tu montes d'un mètre) et sans ombre. A l'arrivée, je boirais bien trois litres d'eau pour compenser la suée que je viens de piquer. Seulement, pour boire frais, il faut redescendre, et ainsi de suite...
Je me renseigne également sur les sites de plongée dans les kilomètres alentours et comme rien n'est assez bien pour moi (quel pédant!!), je décide d'ignorer celà pour le moment.
Peut-être serait-il juste temps de se poser les fesses au bord de l'eau et de profiter de tout cela à tête et à jambes reposées.
Je me mets donc en quête de la plage, et réalise bien vite qu'il n'y a pas de plage de sable, juste des plateformes bétonnées construites devant les hotels et les bars qui les exploitent. Petite déception, je ne vous le cache pas.
Je finis malgré tout par dénicher une grande terrasse parsemée des même grands coussins fréquentés plus avant à Istanbul. Un jus de grenade est commandé, la tendance est au 100% naturel, l'Efes beer attendra encore un peu ce jour là.
J'y passe la fin de journée jusqu'à l'innévitable coucher de soleil qui viendra abaissé un peu la température. Sur ma terrasse, je suis tout seul; je bouquine, je chante, je bois. Kas est très chouette mais si tu n'as pas une copine avec qui te fourvoyer, c'est un peu chiant, faut reconnaître...
Je retourne à mon hotel le temps de prendre une petite laine et comme je n'ai pas mangé depuis le matin car je n'ai pas pû piquer d'oeuf dur, j'ai les canines qui transpirent à leur tour. Elles se substenteront ce soir là d'un poulet à l'ail et aux champignons, divin et dans mes frais.
Mon gosier aura ensuite beau me tirailler, je n'irais pas boire une bière car je m'emmerde quand même pas mal et que j'ai du texte à écrire.
Retour donc à l'hotel, une bouteille d'eau minérale sous le bras.
Je ne me reconnais pas, je bois de l'eau et mange des légumes plus que régulièrement, et ne suis donc pas une cause perdue!
A l'hotel, des petits coussins moelleux m'inciteront à ne plus bouger jusqu'au sommeil tout proche, juste quelques tapes sur mes bras ou mes chevilles pour disperser les quelques moustiques qui me repèrent à la lumière de l'ordinateur, rien de bien méchant cependant.
Tellement pas méchants que la décision d'aller dormir fut prise vers 3 heures alors que tout le monde à la ronde dort déjà depuis longtemps. J'ai beau manger sainement, on ne se refait pas complêtement.

Le lendemain matin, alors que le soleil, quoi qu'un peu voilé, est toujours là, une décision s'impose.
A Kas, y'a pas grand chose à faire hormis les choses classiques de bord de mer, style kayak ou plongée, mais comme tout est assez cher et qu'il n'y a pas grand monde en ville avec qui sympathiser, je décide de mettre à nouveau les bouts. Direction : la Cappadocce, depuis le temps que j'en entends parler, c'est mon tour!!
Mais Kas est à la verticale d'Istanbul et la Cappadocce à 700 kilomètres au nord-est. De plus, comme Kas est un petit village et Gorëme, la plaque tournante du tourisme en Capadocce, est aussi un petit village (2000 habitants), j'ai un changement à faire pour arriver à satisfaire mon itinéraire gourmand de découvertes.
1er bus : un nouveau mini de 15 places jusqu'à Antalya, plus à l'est toujours sur la côte. 200 kilomètres à effectuer en 4 heures.
2ème bus, un maxi confort de 50 places qui fait la liaison de nuit. C'est d'autant mieux que j'économiserais ainsi une nuit d'hotel ,d'autant que je n'ai aucun mal à dormir quelques soient les conditions, et encore moins dans un bus prévu plus ou moins à cet effet.
Comme Antalya n'est pas réputée pour son front de mer, je prévois juste d'y monter dans mon nouveau bus et d'y dormir jusqu'au lendemain où l'arrivée à Gorëme est prévue à l'aube.
Il me faut donc quitter Kas en milieu d'après-midi pour l'escale à antalya ne soit pas trop longue et douloureuse.  
Je reste donc sur la terrasse commune de l'hotel à attendre l'heure adéquate profitant du hamac à disposition dont je ne pouvais taire plus longtemps l'excitence.
A 14h, le hamac a beau être un havre de paix à lui tout seul, il faut partir, Kas c'est joli mais pour le Braïce c'est tout. Je vais pas rester là à attendre la vague pendant des jours, d'autant qu'en plus, question vague, la méditerranée c'est plutôt lisse que glisse.
A l'heure d'embarquer dans le minibus, un autre facteur vint s'ajouter à mes griefs, le ciel commence à s'assombrir. rien de bien méchant, mais la grisaille gagne du terrain.
En fait, elle gagne tellement de terrain, la grisaille, que comme à Istanbul, à peine le bus parti, la pluie commence à tomber. Quelques gouttes d'abord, puis une véritable douche en très peu de temps, c'était juste, j'ai eu du pif!
La route a peu près similaire à celle déjà décrite plus haut a perdu toutes ses couleurs. C'est plus qu'il n'en faut pour me replonger dans une sieste inattendue.
Je serais seulement reveillé par une voiture nous précédant et qui a eu la mauvaise idée de sortir de la trajectoire pour finir par s'emplatrer côté paroi.
Heureusement pour elle et ses passagers, de l'autre côté la mer est 30 mètres plus bas, sans garde-fou. Ouf!!!
Chauffeur, garde les yeux sur la route et les mains à 10h10!!!
La douche nous suit jusqu'à Antalya qui comme la décrivait le LP est un peu sinistre, la pluie n'aidant en rien bien sûr.
Je prends mon nouveau billet pour Gorëme, le bus partira à 22h pour arriver aux alentours de 6-7h du matin. Et comme il n'est que 18h, j'ai encore 4h de gare routière devant moi. L'attente est longue, peu captivante, et me rappelle un peu l'attente de voir l'horloge frapper 17h20 alors que j'exerçais mes talents en version bancaire.
A force de patience quand même, le bus finit par partir toujours sous le déluge; j'espère qu'au réveil le ciel aura retrouvé une teinte azur. Si j'avais voulu de la pluie, je serais parti à Noyon... Petit rayon de sommeil quand même, alors que le personnel du bus viendra me réveiller pour me signaler l'arrêt complet des moteurs, je serais au coeur de la Cappadocce, pas en Picardie.
Dans le bus, je regarde l'intégrale du film "Woodstock" qui comme chaque fois m'arrache presque des larmes de joie devant tant de ferveur et de liberté. Ma tête est à l'unisson avec mon pied, tout mon corps bat la mesure.
Dans le bus où j'ai encore plus de place qu'il n'en faut pour être confort, les gens s'interroge sur mon état mental. Ils s'endormiront avant moi. Je suis "monsieur 100.000 volts"!!! A l'heure de tomber de fatigue, une petite ombre au tableau quand même, le ciel se déverse au dehors par hectolitres et je me demande si ça va changer, et ça a plutôt interêt!!

A 6h15, alors que je scie des buches de plusieurs mètres de diamètre à l'image d'une bande dessinée, on me réveil, l'arrêt est imminent, nous y sommes.
Le temps de me mettre une claque, de renfiler mes chaussures, le bus se stoppe.
Dehors, par rapport à la veille, on a perdu une vingtaine de degré, c'est la grande pelade. C'est venteux et le village dors encore ce dont je ne peux pas le blâmer.
Seul un couple dont la provenance m'échappe est descendu en même temps que moi. Eux ont déjà une réservation dans un hotel pas dans mes capacités malgré la pluie, le vent. Je claquerais bien un peu de pognon pour me téléporter au chaud, mais non. Discernement quand tu nous tiens...
Sur le trottoir d'en face, une lumière vivote à travers une fenêtre, l'endroit est habité, c'est l'office du tourisme.
C'est quand même bien fait, Il est 6h30, il fait dans les 5°, du vent à coucher les joncs, et un préposé attend le chaland perdu dans cette contrée inconnue.
Lui trouvera à qui parler sous la forme d'un Brice défraichi mais motivé. Il parle un anglais brillant, c'est encore plus facile.
Dans sa cahutte chauffée au poêle à charbon, des brochures dans tous les sens.
Gorëme a beau ne compter que 2000 habitants, il doit y avoir 50 hotels!
J'en retrouve un entraperçu plus tôt dans le LP, le Flintstones (comme la famille troglodyte cartoonesque). Il se situe à quelques 400 mètres ce qui est un petit peu rebutant vues les bourasques mouillées qui s'abattent.
Mais, encore un coup de bol, le chauffeur qui vient chercher l'autre couple descendu avec moi du bus, accepte de m'y déposer en échange de... rien du tout.
Générosité et attention aux petits oignons dans une main, remerciements éternels de l'autre.
La voiture m'y dépose, il est 6h45.
Le Flinstones est un hotel fait de brics et de brocs dont les dortoirs sont des caves voutées à l'image de ce qu'on peut trouver en Cappadocce. Seulement, il n'y a pas un chat; il est pas encore 7h et tout le monde roupille encore. Pas un gardien, rien... Je tourne, re-tourne, re-re-tourne, rien, personne.
dans un sens, pas de bol mais d'un autre côté, la pluie s'arrête comme par enchantement. Il fait pas les 30° de la veille mais c'est déjà beaucoup mieux!
Le vent lui est encore présent, mais on peut pas tout avoir dans la vie! Je m'allume une clope en me disant que si personne ne montre le bout de sa doudoune le temps qu'elle se consume, j'irais voir ailleur.
La cigarette se consuma, j'alla voir ailleurs; mais au sec. Retour, à l'office de tourisme, il est 7h15, le mec hallucine. Le temps de sélectionner un nouveau point de chute et me voilà reparti en promettant à l'aide touristique municipale de nous revoir encore après quelques minutes dans un sourire complice.
Seulement cette fois , l'hotel est le bon. Le chauffage est branché dans l'espace commun où on m'offre le thé que j'accepte volontiers pour me réchauffer le corps.
Dehors, la piscine trône ironiquement, ce sera pour la prochaine fois, même un inuit hésiterait.
J'enchaine les boissons chaudes, le petit dèj' à base de pain perdu, Huummmm, c'est bonnn!!
D'autant que le temps se lève un petit peu, il est bientôt 11h et après avoir pris possession de ma chambre froide, je suis quand même ragaillardi et prêt à aller arpenter un peu.
A 11h30, alors que je pars marcher, prenant une direction au hasard, le soleil perce pour la première fois la voute nuageuse. C'est encourageant, non?
Je suis parti avec 2 polaires, mon coupe-vent, ma doublure pantalon en polaire, mais sans mes lunettes de soleil. Et en peu de temps, je crève de chaud, il doit faire maintenant 15° et je suis déjà équipé pour le Népal. Les nuages se dissipent, le soleil gagne en intensité.
Coté paysage, le temps de faire une dizaine de pas en quittant l'hotel, je lève les yeux et vois que la Capadocce telle qu'on l'imagine est partout autour, et à mesure que je m'éloigne, le spectacle va s'accroissant exponentiellement.
Des blocs de pierres s'élèvent partout autour, c'est renversant!!
Ca me rappelle un peu les Tsingy à Madagascar (voir les photos de Mada' et de Capadocce) sauf sur que les tsingy, la roche est torturée, brisée, aiguisée; ici, tout n'est que rondeurs et courbes.
A mesure que je progresse, mon chemin m'amène à traverser de petits passages souterrains, à grimper par des endroits dont on se demande déjà comment on va bien pouvoir redescendre. Je fais parfois demi-tour tant c'est compliqué de progresser, d'autant que plus j'avance, plus je m'éloigne du village.
Il faudrait simplement que je puisse atteindre un point en hauteur d'où je pourrais avoir une idée de ce qui se trouve derrière la barrière rocheuse qui me barre la route.
Après moultes tergiversations, je débouche sur un chemin grimpant sur les hauteurs, on approche 12h30 et le soleil lutte sans merci contre les nuages. La lumière est magnifique et redoutable malgré tout pour mes yeux non protégés.
Je monte, aperçois le haut du chemin. Derrière ça, aucune idée.
Quelques mètres de plus, j'y suis, je peux lacher mes pieds du regard me préservant la surprise.
WHAOWWWWWW!!!!! (j'te laisse voir les photos mais WHAOOOOWWWWW!!!!!)
C'est incroyable, des frissons partout malgré la douceur qui revient, la chair de poule à en avoir des crevasses, c'est à crever de beauté, inimaginable!!!!

Je resterai environ 1 heure au même endroit sans pouvoir me décrocher tant c'est lunaire et féérique me promettant de rester dans le coin pendant au moins les 5 prochains jours. Et comme mon chemin tracé ne va pas plus loin, je n'ai d'autre choix que de retourner au village, de toute façon, j'ai tellement de fringues sur le dos que j'ai des vapeurs!!
En retournant à Gorëme-centre, on voit que le village est construit au milieu de cette zone géologique exceptionnelle et que quelque soit la direction empruntée, WHAOOWWWW!!!
Il est 14h quand je retourne à l'hotel et si la température extérieure a grimpé quelque peu, il n'en est pas de même de ma chambre où il doit faire dans les 12°. Je demande à un employé s'ils ont le chauffage, il me répond qu'ils attendent la saison froide pour le mettre en route. C'est quand la saison froide??
Le soleil a l'air installé pour de bon et comme la nuit dans le bus n'a pas atteint des sommet de confort et que dans la chambre froide que j'ai choisie pour me changer des dortoirs il y a 3 couettes épaisses pour moi tout seul, je décide d'une petite sieste réparatrice, prévoyant de repartir en ballade pour profiter du sacrosaint coucher de soleil.
Et bien la couette était si confortable que je me suis réveillé à 17h, et qu'à cette heure là, le soleil a finalement perdu la bataille, laissant de nouveau place à la pluie glaciale. Ca devrait durer encore demain (jeudi) mais dès vendredi, le baromètre indique un retour à la crème solaire.
Heureusement, que j'ai eû un aperçu plus tôt et que je ne suis pas ressorti après sous peine d'une douche non souhaitée.
Au moins auras-tu des photos pour te rincer l'oeil.
Ce soir, la pluie s'est tue, demain c'est loin; j'en ai des images plein la tête et m'en vais faire de beaux rêves.
Whaowwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww!!!!!

PS : mon nouvel hotel n'a pas le WIFI dans les chambres mais l'a dans l'espace ptit dejeuner & coussins, s'il pleut demain (jeudi) je serait sans doute sur skype en journée ET en soirée. Au plaisir de vous entendre!!

PPS : encore une fois je ne me suis pas relu car il est 2h passées, tout le monde dort et il faut encore que je charge les photos (que je ne vais pas trier non plus) pour tes yeux curieux, désolé pour les fautes mais c'est du brut de décoffrage et whaooooowwwwwwwww



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M
Remets tes claquettes ! ça va faire revenir le soleil (édénanaaaaadarladirladada). T'sais, si cette région ne t'offre que pluie, vent et froid, faudra penser à mettre le cap Adios !
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C
Ahahah (rire démoniaque), oui c'est bien moi Cyrille Perrin, ton couzing, con...<br /> Oui, mais ton excuse n'est pas valable, je n'y crois pas une seconde.<br /> <br /> (roulade avant)<br /> (prout)<br /> (roulade avant)
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S
<br /> et pourtant c'est vrai!!<br /> pourquoi est-ce que tu crois que je fais pas mes nuits?<br /> Demain je me lève à 5h45 pour faire 4 heures de quad jusqu'à 10h, je sais ça n'a rien à voir mais je sais déjà que demain je vais devoir couler tout ça sur "papier" et que donc demain aussi je<br /> serais le dernier debout dans tout le bled à cause ou grace au blog.<br /> En tout cas, tu peux me croire sur parole ça me prend entre 3 et 4 heures chaque fois que je mets du contenu sur cette satanée machine!!!!!<br /> roulade avant<br /> triple boucle piquée<br /> salto arrière<br /> proutS<br /> <br /> <br />
C
j'ai regardé les photos de Cappadocce et... whaaouuuu !!!<br /> c'est fou ces rochers-toits-champignons partout, on se croirait chez les schtroumpfs !!
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G
pas de "skyper" en ligne ... c'est plutôt bon signe, ça veut dire que tu n'es pas enfermé devant ton micro alors qu'un pareil spectacle se déroule à quelques pas de là ... profite bien de cette magnificence
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C
ah ouais quand même...Whaoooo<br /> Et comme ça, une idée en passant...<br /> Pourquoi n'illustrerai-tu pas tes articles avec quelques photos ? Car tes articles sont longs et ça permettrai une lecture plus confortable , je trouve...Bon...Je dis ça, je dis rien moi...<br /> <br /> (Claque la porte)
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S
<br /> Merahbat Cyrille!<br /> J'imagine que c'est très long à lire et que les photos serait de bon gout mais je passe déjà de 3 à 4 heures(!?!) pour te pondre chaque article auxquelles il faut rajouter entre 1/2 et 1 heure pour<br /> charger les photos.<br /> Si je précise aussi qu'il faut 20 minutes montre en main pour charger une vidéo de 30 secondes et que je ne peux rien faire d'autre pendant ce temps là car l'ordi rame comme un fou, je me doit de<br /> me flagéler de ne pas répondre positivement à ta requête.<br /> Le blog, c'est juste sans fin et ça pourrait être mieux quoi qu'il arrive mais j'y passe tellement de temps que plus ce serait pêcher.<br /> Les photos sont de toute façon en ligne dans la rubrique "photos", peux pas faire plus que de te présenter mes 'scuses!<br /> <br /> PS : le Cyrille, c'est le Perrin ou bien?<br /> <br /> <br />